L’appellation « vegan » tend aujourd’hui à défi­nir une qua­li­té, plu­tôt qu’un indi­vi­du. Cette stra­té­gie est exploi­tée par les marques au béné­fice d’une audience plus large qui ne concerne plus néces­sai­re­ment les véganes et les végé­ta­riens, mais essen­tiel­le­ment le public flexi­ta­rien (majo­ri­tai­re­ment végé­ta­rien ou végé­ta­lien, cepen­dant consomme tou­jours des pro­duits d’origine animale).

En effet, les pro­duits véganes inté­ressent toutes les tranches de la popu­la­tion pour des rai­sons éthiques, de san­té, et éco­lo­giques. Les recom­man­da­tions régu­lières de l’OMS qui incitent à limi­ter la consom­ma­tion de pro­duits car­nés contri­buent à ali­men­ter le flexitarisme.

UNE NOUVELLE FAÇON DE CONSOMMER
ÉTHIQUE ET RESPONSABLE

Selon des sta­tis­tiques récentes, les flexi­ta­riens repré­sentent désor­mais 35 % des foyers fran­çais. Par rap­port aux consom­ma­teurs clas­siques, ils dépensent…

Source Kan­tar, étude Lin­kO Juin 2019

vegan-france.fr

+78%
pour des
STEAKS DE SOJA

+25%
pour les
SEMOULES ET CÉRÉALES

+37%
pour des
GALETTES DE RIZ

+20%
pour les
LÉGUMES SECS